2022

10 et 11 décembre : retour sur le stage au Dojo du Laurier

Session d’Automne bien vivante et gaie. 
Le chamboulement fut dans l’après stage…ainsi chaque situation est une source extraordinaire pour apprendre et changer. 
Le chemin est long, beaucoup à faire, ainsi la pratique est  passionnante… 
 
Bernard
Je garde cette lumière verte dans le ventre, elle est comme un petit phare, souvent les vagues la cachent et je ne la vois plus, je garde la direction et elle réapparaît. Je recommence cela cent ou mille fois depuis hier.
 
Merci de guider!
 
Pablo

De tous ces cercles que l'on a étudiés le cercle du partenaire m'est peut-être le plus difficile à appréhender. Bouger, passer, me rappellent le kyudo dans le sens de ne pas s'arrêter. C'est un travail joyeux.
Merci pour ce stage hivernal et lumineux.

Marie-Annick 

C'est sans doute la première fois que je ressens avec autant de force ce sentiment de dissoudre les peines, de faire la paix avec ses démons, de se mêler et d'emmêler tes mots à l'assise comme pendant les wasas...de m'accorder un peu de répit avec la réussite de la technique, de me sentir renaître dans tout autre chose dont je n'ai pas encore conscience si ce n'est une immense curiosité.

oui, je me suis accordée à ce qui venait et j'ai osé pensé : je me sens bien.
 
Merci Bernard
 
Linda

Répéter les wazas, sans que ce soit jamais pareil, toujours différents, toujours avec une recherche nouvelle, je pense à l'esprit, j'oublie les mains, je pense à mes pieds, mes hanches, j'oublie le souffle, j'essaie de trouver du feu, j'en oublie le givre dehors, ça ne marche pas pour autant... Toujours vers l'avant, ne jamais reculer, pas de fatalité. Voila quelques voies que j'ai entendues, retenues, il y a tellement de choses qui laissent place à une découverte infinie de nous mêmes et des autres. Gratitude, et merci.

Claire


Être accueilli par le dojo du laurier.. il nous prête ses couleurs d’hiver.. le blanc d’un peu de givre, le camaïeu de ses feuilles, les pierres dormantes .. à l’intérieur le rouge flamme d’une calligraphie, un bouquet automnal .. puis il s’anime sous la pratique , la ronde des wasas circule en corps et encore.. esprit, souffle court , souvent, hanches et mains en chemin, l’espace bleu des poitrines , la timidité de l’ouverture puis peu à peu prendre confiance .. appeler, cercle cercle … se perdre , revenir .. merci bernard pour ce cheminement sans fin . Restons collés!

Marie-Elisabeth

Dans un froid hivernal, la pratique réchauffe les corps et les cœurs. Accompagné d'un rhume et de petites courbatures , je suis tout à la pratique et aujourd’hui, la fatigue a disparu. Merci !

Il m'apparaît clairement qu'au fil des wazas, chaque partenaire, nouveau ou plus ancien, m’enseigne quelque chose. Merci !

Je m’attache à suivre les directives du corps, du souffle et de l’esprit … bien souvent préoccupé par la posture du corps, je ne parviens pas à conserver tous les points d’attention et les dimensions plus profondes sont perdues… il faut donc continuer, Merci !

Mathieu

Pas beaucoup de wasa, mais tous enrichis et redécouverts grâce à la participation de nos intérieurs galvanisés par tes recherches et directions.
Peut-être aussi grâce à cette douce tranquillité du sommeil partagé dans l'espace silencieux du dojo environné d'un gel blanc et pur.
Et grâce au feu des pieds dansants, grâce aux appels des cœurs, éclairés par la nature dorée de l'automne.
Je m'en vais de ce pas tenter de revoir et de re-sentir quelques uns de ces points ce soir.
Merci pour cette émulation qui nous porte.

Jean-Marc

A la suite de ce stage, une motivation décuplée, une joie nouvelle, comme une fenêtre entrebâillée. 
Je serai très maladroit si j'en disais plus donc je vais me contenter d'exprimer ma gratitude pour  enseignements.
 
Jean