Session Sasaki Sensei 2013
Sasaki Sensei no Kokyu
Rempli
Revigoré
Recentré
Réajusté
Repu . . . . . Jamais
Bernard Bleyer
Douce Rigeur pour une invitation à l'étude de la respiration,du merci,de la rencontre,avec l'autre,avec l'univers,avec....JoyAux outils de vie offert dans un écrin d'humilité.
Myriam
"Energie de transformation"
Musubi, les règles de l’univers dans les waza, la croix, l’arrière est le devant, la rencontre des cercles … les dimensions invisibles de l’Aikido sont concrètes, l’énergie de la transformation est là ! A nous de mettre en pratique ! "
Mathieu
Moments uniques, relation magnifique
Toujours se recentrer et ressentir le Soi
Pas de repos ni répit dans cette recherche
Merci.
Christophe
Ressentir, fermer les yeux... D'un appui à l'autre, timidement, puis un peu plus profond à chaque fois, oser s'aventurer au-delà...Je découvre une nouvelle ferveur à étudier, le désir de la partager avec les autres pratiquants, la parole nait, les échanges se font passionnément....
S'aventurer au-delà...Serons-nous alors, sur le pont flottant, princes, princesses ou dragons?
Linda
« Appliquer les règle essentielles et simples pour, à travers les wasas, découvrir ce pont suspendu entre ciel et terre qui mène à soi et à la rencontre de l’autre.
Merci Sasaki Sensei. »
Merci Sensei d’avoir rendu ce stage possible.
Olivier
Un pas, deux pas, trois pas de plus dans l'Aikido avec à chaque pas, le poids joyeux de directives simples.
Vertical, horizontal, vertical, horizontal, lignes droites et croisements carrés.
Comment des lignes droites peuvent-elles tourner ?
Expir, inspir, expir, inspir,…
Comment une respiration peut-elle être horizontale ?
Règles, consignes, conseils, exigence, paradoxes.
Comment une règle peut-elle nous rendre plus libre ?
Relation, Musubi, rencontre, connexion.
Comment ne pas oublier en dehors du Dojo ?
Revenir au concret des saisies, des cercles qui heurtent sans heurter, des inspirs qui relâchent, des corps, des cœurs, des esprits qui s'aimantent.
Merci à Sasaki Sensei.
Merci à Bernard Sensei.
A Marette et à toutes et tous.
Jean Marc